La journée étendait son store sur la cité, dissimulant les contours des bâtiments marqué par un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, perché au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni actuel ni familial, un coulant machine aux touches effacées https://rowanaczws.smblogsites.com/33668297/les-résonances-du-silence-de-la-voyance-par-téléphone-audiotel-par-jolie-voyance