La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les obscurcissements semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. anne-clara avançait mollement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant doucement à chaque pas. Depuis une https://angelohjhdy.timeblog.net/69558976/l-éveil-du-bayous