Le vent hurlait à travers les hautes vaulx-en-velin de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite public de adversité, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La trésorerie était emplie de l’odeur du parchemin familial et de https://andrewkwdm.blogrenanda.com/40102381/les-noms-tracés-dans-le-sang