La galerie de bal se transformait en un courbe de miroirs mouvants. Ludovico avançait lentement parmi les hôtes masqués, sentant le poids du sort diminuer sur ses épaules. Chaque rafraîchissement qu’il croisait altérait son planche, lui entrainant un symbole d’un futur obscur, d’un passé anonyme, ou d’une transposition de lui-même https://emiliovisah.bloggerswise.com/41220956/les-effigies-du-destin