Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son tic, attendait que l’obsidienne parle à nouveau. La pierre black semblait absorber l'éclairage sélénique, vibrer sous la pression du vent, et assez fréquemment, sans alerter, elle résonnait de cette voix vieillotte https://travisaedau.ezblogz.com/65535495/le-bombe-sans-méfiance