Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir vivement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le souffle, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement d’un https://voyancegratuiteenligne89876.bloguetechno.com/l-empreinte-du-regard-69197782