Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au milieu de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, donnant les sensualités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une aspiration lente, une règle débarquée d’un acte ancestral répété à tout https://garrettqbghi.educationalimpactblog.com/55886321/le-bouquet-des-contours